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Management - Page 2

  • Les salariés veulent être davantage écoutés

    Les salariés veulent être davantage écoutés

    Par Gaëlle JOUANNE, 29/03/2011

    Les collaborateurs déplorent un manque de communication au sein de leur entreprise, selon le dernier Observatoire du travail BPI/BVA/L'Express dont les résultats ont été publiés le 29 mars.

     

    Les salariés estiment que les systèmes de communication mis en place dans leur entreprise sont inadaptés. Voilà l'un des enseignements de la 18e édition de l'Observatoire du travail BPI/BVA/L'Express* dont les résultats ont été publiés le 29 mars.

    Ils considèrent que la liberté d’exprimer son opinion ne semble plus garantie :

    - 38 % ont une image négative de leur entreprise quant à la possibilité d’y exprimer son opinion ;
    - 52 % pensent que lorsqu’on dit ce qu’on pense, on risque d’être mal vu (59 % dans les entreprises de plus de 500 salariés) contre 47 % en 2004.

    En dépit du foisonnement des nouveaux outils de communication interne, les salariés s’estiment majoritairement mal informés de la politique RH (à 55 %) et des orientations stratégiques (à 53 %) ; de même, ils ne s’estiment pas très bien informés de la vie de l’entreprise ou du service (à respectivement 43 et 44 %).

    Des processus participatifs qui peinent à se concrétiser en actions

    Le contraste perçu entre les initiatives formelles ou organisées des employeurs (communication interne, groupes de travail, projets d’amélioration,…) et la réalité du fonctionnement des organisations semblent plus importants que jamais.

    • Les initiatives allant dans le sens d’un management participatif sont loin d’être marginales ;
    - 34 % évoquent l’existence de groupes de travail permettant de s’exprimer sur le fonctionnement de l’entreprise ;
    - 17 % disent que cela est envisagé ou en projet ;
    Au total, c’est donc la moitié des salariés interrogés qui y font référence.

    Environ la moitié des salariés interrogés affirment également avoir pensé à mettre en place des idées ou projets dans leur entreprise, mais elles ne se concrétisent pas toujours ;
    - 54 % sur l’amélioration de l’organisation du travail, dont 32 % mis en place ou en cours ;
    - 53 % sur l’évolution du poste de travail, dont 31% mis en place ou en cours ;
    - 46 % sur l’amélioration des conditions de travail, dont 26 % mis en place ou en cours.

    • Quand ces projets sont abandonnés, c’est dans plus de 50 % des cas parce qu’on n’a pas osé en parler (autour de 15 %) ou parce que le projet a été refusé (autour de 40 %).

    Certains signes indiquent une forme de sous-utilisation du capital social que représente l’envie – parfois frustrée – de beaucoup de salariés d’être davantage associés à la marche de l’entreprise. Il y a là un levier intéressant de mobilisation qu’un certain nombre d’entreprises semblent déjà investir.

    *Sondage réalisé par Internet du 9 au 16 février 2011 après d’un échantillon de 1000 salariés représentatif de la population active, du secteur public et privé.

  • Extrait de l'article"Oui, votre chef sert à quelque chose" Slate.fr 9 novembre 2010

    Bonjour tout le monde!

    Je ne résiste pas au plaisir de vous communiquer un extrait de cet article, dont vous retrouverez l'intégralité" sur le site www.slate.fr.

    "Une nouvelle étude de la Banque mondiale et de l'université de Stanford intitulée «Does management matter?» [PDF] répond à cette interrogation. Dans le cadre d'une collaboration avec le cabinet de conseil Accenture, des chercheurs ont sélectionné au hasard des usines de textile en Inde qui allaient profiter gratuitement d'un remaniement de leur management pendant cinq mois, et ont comparé la rentabilité et l'efficacité de ces usines réorganisées avec un groupe d'usines témoins qui continuaient leurs activités sans rien changer. Les résultats ont montré que le management fait une différence: la productivité a augmenté d'environ 10% grâce à une amélioration de la qualité, à la gestion des stocks et à l'accélération de la production.

    Les auteurs de l'étude énumèrent 38 principes définissant un bon management. On y trouve des procédures de notification et d'analyse des défauts, des systèmes de suivi de la production et des stocks, et une attribution claire des rôles et des responsabilités de chacun. Si tout cela semble assez raisonnable à première vue, il faut garder à l'esprit que cet ensemble de pratiques a le potentiel de créer un monde digne de Dilbert où sévissent des demandes de rapports alambiqués, une surveillance à la Big Brother et des procédures rigides qui émoussent la créativité et l'innovation (si vous avez des doutes, pensez à la dernière fois que vous avez dû remplir la paperasse d'une note de frais)" (...)

    Il s'avère que les défauts de management des entreprises textiles indiennes sont loin d'être des cas isolés. Dans une étude antérieure [PDF], Bloom a conduit avec deux chercheurs de la London School of Economics une enquête mondiale sur les pratiques de management, en utilisant des mesures de qualité comparables à celles utilisées par Accenture. Ils ont engagé des étudiants en MBA pour interroger des managers de sociétés de dix-sept pays différents. L'Inde a été classée troisième en partant de la fin, juste derrière le Brésil et devant la Chine. A elles trois, ces économies si mal gérées représentent près de 40% de la population mondiale. (...) Sans surprise, les pays les mieux placés dans le classement mondial du management sont des nations figurant parmi les plus riches: les États-Unis, l'Allemagne, la Suède et le Japon occupent les quatre premières places.

     

  • Fallait pas l'inviter!

    Bonjour tout le monde!

    Vous allez me dire que je radote... mais la communication c'est aussi un peu cela, réitérer un message sous plusieurs formes afin qu'il soit bien assimilé.

    Là encore nous avons un preuve par 3 de l'importance de la motivation au sien d'une équipe... vous commencez à voir ce dont nous allons parler n'est-ce pas?... et bien oui, quel autre exemple pourrions nous citer que celui de l'équipe de France de Football en plein cauchemar du Mondial?

    Là l'exemple est d'autant plus douloureux que l'on ne peut se justifier par un manque de moyens, car moyens il y a, a profusion, même. Des salaires indécents, compte tenu et de la conjoncture et des performances médiocres produites. (c'est étrange dans notre hexagone tout le monde grogne contre les bonus des traders et personne ne bronche pour un attaquant raplapla qui touche des fortune pour pas grand chose!)

    Donc ce n'est pas la faute aux moyens financiers... mais qu'est ce donc,? Je vous passe le couplet sur les mauvaix-choix-startégiques-du-coach..; vous le connaissez mieux que moi. Non la où le bat blesse c'est indubitablement côté management … once again. Alors c'est vrai dans ce cadre là il est difficile de faire l'impasse sur le rôle du caoch... mais bon n'y revenons plus. En revanche là on l'on peut faire encocre plus mal c'est en tapant un bon coup sur la composante même de l'équipe: les joueurs. Et là permettez moi de faire un parallèle entre vous gentil lecteur et sans doute gentil collaborateur, et eux pauvres petits footballeurs travaillant dans des conditions difficiles, stage de mise en condition à la montage, résidence en hôtel 5*. Vous quand vous partez en séminaire et que votre gentil organisateur à tout prévu pour votre confort, une prestation de bouche délicieuse , des animations fédératrices et conviviales, vous vous sentez comment pendant votre séminaire? Motivés ou non? Et bien eux, c'est tout bonnement l'inverse, plus on les protège plus on les chouchoute moins ils sont performants.

    Cette équipe va mal,; elle est rongée de l'intérieur ici plus d'entente mutuelle, il suffit de les regarder jouer pour se rendre compte que ce groupe n'est pas un groupe mais une somme d'individus aux égos sur dimensionnés qui ne veulent pas jouer ensemble, qui ne sont plus motivés par l'envie de gagner mais focaliser sur les (non) exploits personnels.

    Tous les ingrédients pour l'échec sont réunis : Rivalité, démotivation, irrespect.

    Je suis sure que vous, comme moi, avez déjà bosser au sein dune équipe plus au moins performante, avec un coach plus ou moins bon, mais vous avez vous pour autant baisser les bras et saboter votre job à cause de cela?