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  • Positionnement d'une marque . Cas n°1

    Bonjour tout le monde,

     

    Waouh on ne rigole pas avec un tel sujet... et pourtant parfois celui-ci (ou son absence) donne lieu a de coquasses situations.

    D'abord désolée par avance de vous frustrer, mais nous ne citerons pas de noms de marques, nous sommes courageuses mais pas téméraires.

    Tout simplement parce que le web même s'il est un formidable espace de liberté, il ne doit pas être un défouloir,où l'on peut citer une marque et lui nuire avec ou sans préméditation.

    Cas numéro une : celui d'une jadis belle marque de jeans (dans les années 80-90);qui aujourd'hui est à la veille du dépot de bilan si elle ne trouve pas rapidement repreneur. Voilà une marque qui a benéficié au moins pendant une belle décennie d'une côte d'amour incroyable auprèss de son (ses) public(s). Trendy, communiquante, produits bien désignés, bon rapport qualité/prix. Rien à redire.

    Et puis ... pftt.. plus rien, le désert... soudain rien ne se passe (selon ma formule consacrée)... ou si peu.

    La marque balbutie, fait un pas en avant : grâce à un partenariat avec un couturier fashion ; et deux pas en arrière en continuant de se vendre en grande distribution alors que ces concurrentes ouvrent corner shop (magasin dédié à une marque unique) sur flagship...

    Elle continue d'exister, notre petite marque, ou plutôt de survivre, là où d'autres aussi anciennes qu'elle, parviennent à créer du buzz et s'entourent de trend setters pour un revival inespéré ,Van's, Pataugas, Moncler, notre marque presque has been se replit sur elle même avant de manquer de souffle.

    L'avenir nous dira si ce n'est que passager ou définitif.

     

  • L'été approche

    Bonjour tout le monde!

    C'est désormais un rituel dans l'hexagone dès que le mois de juin pointe le bout de son nez, tout commence à ralentir... côté business aussi!

    Ajouter à cela une coupe du monde de foot et c'est le pays tout entier qui est en stand by avant... l'arrivée de l'été.

    Je me souviens de la lecture du  livre "God save la France " de Stephen Clarke, avec sa première phrase très éloquente : " l'année ne commence pas le premier janvier en France, mais le premier jeudi de septembre". Je trouvais à l'époque cela très exagéré, car étant salariée je ne me souciais guère de cette fameuse saisonalité à la française.

    Auihjourdh'ui à mon compte , et à la tête d'une agence évènementeille destinée à une clientèle corporate, impossible d'en faire abstraction.

    C'est bel et bien  vrai dans quelques jours crise ou pas crise la France s'arrêtera car l'été, le vrai celui avec son joli soleil et son pastis bu en terrasse arrive.

    Alors bon courage pour cette derière ligne droite avant les palmiers.