Mort à la crise!

Oh coquin de sort… hier lorsque je rédigeais pour vous un billet spécial stop à la morosité… mon ordi a buggé et tout mon billet s’est envolé comme par magie. Dégoûtée la fille. ! je laisse tomber la rédaction du billet et vous retrouve le lendemain… qu’est ce qui a changé depuis… ben je ne suis plus aussi furax vis à vis de la crise… pourquoi ! parce que là je l’ai rencontré et contrairement à ceux que disent certains tee shirts très trendy en ce moment je l’ai rencontré et je ne l’a trouve pas sympa dus tout./ Résultat des courses j’ai bien envie de lui casser la gueule à la crise et vous ?

Si on s’y mettrait tous  ensemble, on lui referait le portrait qu’en pensez vous ? Allez on prend  sur nous, car nous la violence on n’aime pas çà et on fonce, on lui démonte sa tête à la crise !

C’est parti ! Personnellement, mon introspection va commencer par ne plus rager en pensant que je ne reverrai jamais l’argent qu’un prestataire me doit en tant qu’apporteur d’affaire. Et oui, hier j’apprenais que l’un de mes principaux partenaires (dont je tairais pour le moment le nom, pas la peine de charger la mule) a demandé à ses collaborateurs de se mettre volontairement en congés ( ce qu’ils on fait), seulement voilà ces premiers congés sont déjà les prémisses d’une licenciement économique, qui se profile et  ce que ces fidèles collaborateurs ignorent ou presque… c’est donc reculer pour mieux sauter! car question comment compte il dégager du  chiffre d’affaire pour payer ses collaborateurs s’il se sépare de sa commerciale ? mystère !

Comme il me l’a dit hier, sa priorité n’est pas de prévenir ses partenaires, dont moi petite agence apporteur d’affaire qui ne lui a généré un chiffre d’affaire que d'environ 9000€ en 2 ans , non, mais plutôt de faire face à ces licenciements si regrettables ce que je conçois, mais vu comment il me 'la fait comprendre je trouve cela plus déguellasse que regrettable. . Ce que je ne comprends pas en revanche c’est ce silence qui n’est justifié par rien d'autre qu’un manque de courage face à ses collaborateurs et ses débiteurs, cette absence d’information qui nous laisse nous agences apporteur d’affaire dans un doute impossible à faire cohabiter avec des relations commerciales basées sur la confiance et la transparence . Et là je dis stop ! là crise est là certes, mais il va falloir composer avec elle, se battre contre elle, mais aussi contre cette fâcheuse manie que certains ont de faire comme si de rien n’était et de se taire alors que dans certains cas le silence est pire que tout !Et oui je suis peut être maso mais j’aurai préféré que vous m’appeliez Monsieur N.F au lieu de faire l’autruche et de me laisser le soin de découvrir votre situation, j’aurai préféré un mail un coup de fil plutôt que votre silence assourdissant me laissant aujourd’hui pensé que vous allez être mon premier impayé… vous me faites… criser !